Au pays de l’art de vivre à la française, j’ai choisi de vous parler d’une tendance qui vient d’ici, et d’ailleurs : le phénomène culturel kinfolk, un art de vivre inspiré de la vie rustique, champêtre, folk. Cette tendance se caractérise par un retour aux choses essentielles.
Que pensez vous du style "shabby chic" ? A travers le décor de café, nommé Maman à N.Y., je vous propose d'explorer cette question.
Dans le magazine italien Living du Corriere de la Serra, j'ai repéré cette sublime maison, à la décoration très loft brut de décoffrage. À voir cet intérieur, on hésite n'est-ce pas sur sa situation loft ou ferme rustique ? Un peu des deux en fait.
Comment définir le style bohème ? Nous mettons beaucoup de choses derrière ce terme. Je vous propose d'explorer le charme du style bohème suranné, des ambiances presque vétustes, en tous les cas patinées. Elles rappellent celles de la bohème chantée par Aznavour.
Revenons sur la maison de Constance et Dorian dont j'ai actualisé hier, un article publié en mai 2011 : Une déco acidulée et lumineuse à l'esprit brocante pour jouer au jeu des 7 erreurs. Il y a en réalité plus de 7 erreurs, car si la maison n'a pas changé dans son fond, la décoration a bien évolué au profit d'un style beaucoup plus bohème, entre influences scandinaves et méditerranéennes. Les teintes naturelles et neutres ont désormais plus leur place que les tons pastel.
En allant faire mes emplettes chez Leroy Merlin, je me suis vue remettre à la caisse le petit magazine "du côté de chez vous" distribué par l'enseigne pour les détenteurs de la carte de fidélité. D'habitude, je ne craque pas sur les intérieurs proposés, mais là, j'ai eu un gros coup de cœur pour la décoration intérieur de Constance et Dorian.
Question du jour : la bohème peut-elle être minimaliste ? Il y a bien longtemps que j’ai compris que le style bohème ne se résumait pas à un assaut de couleurs et de motifs, et ne circonscrivait pas à des décors surchargés. Non. La bohème, c’est un état d’esprit qui pourrait se définir comme ne Lire
Le mois de janvier ouvre la session des "petits espaces" dans les magazines de décoration. J'ai retenu ce dernier reportage, paru dans le Marie-Claire Maison). Il s'agit d'un appartement situé, rue du Temple en plein cœur du Marais à Paris dont j'aime bien le côté éclectique entre modernité et passé, entre ville et campagne, entre design et brocante, très parisien.
En plein rangement de mon bureau comme je vous le donnais à voir lundi [Je précise que cela avance doucement, mais comment ranger quand on a plus de place ?], je suis tombée sur les photos du studio de Justina Blakeney ou plus exactement de son QG JUNGALOW.
L'intérieur de la graphiste, scénographe, Liselotte Watkins cultive incontestablement un style bohème minimal, emprunt d'influences scandinaves. J'aurais pu d'ailleurs intituler cet article : "L'appartement d'une Suédoise en exil", car Liselotte Watkins habite à Milan, avec sa famille, alors même que son cœur est resté en Suède.
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