Hilary Robertson est styliste et antiquaire. La liste de ses clients est aussi longue que prestigieuse. Elle a ouvert les portes de son appartement à Brooklyn au magazine New-York Times. Nous pénétrons dans un univers imprégné d'esprit XVIIIe siècle, de style gustavien qu'aujourd'hui, on englobe facilement sous le titre de "shabby".
Encore un intérieur suédois à tomber. Il s'agit de l'appartement de la blogueuse Tant Johanna de son vrai nom Johanna Laskey, une jeune styliste, appartement qui se situe à Göteborg en Suède et qui a été vendu par l'agence immobilière Alvhem. Rien d'étonnant à ce que ce petit bijou est déjà trouvé acquéreur.
Nightwood est un studio de design installé à Brooklyn, qui est spécialisé pourrait-on dire dans l'art de l'upcycling. Dans leur atelier, vieux meubles et textiles retrouvent en effet une seconde vie. Il ne s'agit pas de faire du lisse, du joli. Les meubles sont au contraire dé-construits, et au bois lisse, on préfère les bois usés, les choses qui ont une histoire.
Aperçu dans le Elle déco d'Afrique du Sud, j'ai été frappée par ce projet d'intérieur dans un style brutaliste pur et dur. La caractéristique de ce projet tient au fait que sur l'île artificielle Steigereiland, les gens n'ont pas de contraintes architecturales.
L'appartement de Myriam Balaÿ Devidal, à Nîmes est hors-norme. J'avais envie de partager l'univers de cet créatrice et ce style de décor atypique qui consiste à laisser les murs patinés. Je me suis amusée à mélanger ses créations et les photos de son intérieur.
Face à la décoration bling bling, s’est développée dans le monde du luxe, l’antithèse : la décoration trash, cracra. Le principe est simple : laisser parler les murs, l’usure des matières, créer une ambiance qui se joue du temps et des traces du passé, une déco qui en fait même son let motive. On parle de style "rough luxe", ce qui signifie "luxe rugueux".